Il y en a des trompe couillon dans ce monde comme quoi les hommes donnent et les femmes recoivent. Bien sûr que non.
La nativité est considéré comme une réception, mais hommes et femmes tous nous devons accueillir Jésus. Qu’est-ce qu’on accueille dans ces cas ? C’est l’événement le plus inoui qui puisse se produire en terme humain. C’est le plus grand qui c’est fait le plus petit contre toute logique. Et c’est bien de notre logique qu’il s’agit. Quand nous voyons 100 signes blanches, alors nous disons que tous les signes sont blancs, mais si le 101 signes est noirs, alors nous disons toujours que les signes sont blancs avec une exception à la règle. C’est rare que l’homme arrive à la conclusion que sa théorie sur les signes est peut-être mauvaise.
Noël est de cette ordre. Jusque-là nous croyons que l’homme est un affaire humaine, mais depuis là naissance de Dieu en tant qu’homme, il faut dire que la théorie doit être revu.
Ayant donc notre réception près pour l’accueillir.
Et puis il faut le donner, là où nous sommes. Nous ne pouvons que véritable terminer la réception que si nous la terminons par le don. Le don accomplit l’acte de recevoir. C’est Dieu le Père lui-même en premier qui en a conscience. En recevont l’homme à la création, il devait le rendre à lui. Il ne pouvait le faire qu’en tant que don de lui-même en son Fils. Le don de son Fils accomplit l’oeuvre de la création.
Nous sommes éternellement pris dans le cercle de donner et recevoir. Dès que nous gardons pour nous, c’est foutu.