Sujet suivant : les feminisme. Dernièrement la journée de la femme et un livre qui est sortie “être femme sans être mère”.
A la première émission ce qui me semblait intéressant qu’une auditrice a réagi en disant “je ne revendique pas le droit à l’égalité, mais le droit à la différence”. La feministe a réagi en disant que justement elle n’aimait pas le mot différent parce que cela piegiait les femmes. Pour moi, le mot égalité vient de la révolution française. Jésus-Christ ni le framaconnerie n’a jamais parlé d’égalité. Il me semble que les trois mots “égalité, fraternité, et liberté” sont les plus gros connerie qui ait pu inventé comme slogan pour un état, ou comme leitmotif pour un peuple. Nous ne sommes pas égaux, et nous ne serons jamais; nous ne sommes pas tous frères, et nous le serons jamais; nous ne sommes pas libre, et nous le serons jamais.
Nous ne sommes pas égaux par la naissance, par nos parents, par l’endroit où on est né. Personne d’autres qu’une personne handicapé peut comprendre cela. Le but n’est pas en plus que nous soyons égaux.
Nous ne sommes pas tous frères. Jésus l’a dit : je n’ai ni frère, ni soeur, mais nous sommes tous enfants de Dieu. Si la fraternité consiste en essayant que les gens autour de moi soit mes frères, non merci. Au mieux ce sont des voisins. La fraternité, s’elle n’est pas pensé dans un dépassement des relations humaines, cela ne vaut pas la peine.
Nous ne sommes pas libre. La liberté n’est pas un affranchissement des lois. La liberté n’est pas ces moments où nous faisons ce que nous voulons; la liberté n’est pas de pouvoir aller là où je veux. La liberté par contre est la rencontre de mes limites, des limites de la loi, et surtout les limites de l’Autre. Je ne suis que libre au moments que j’ai le choix. Si je suis enfermé dans mon royaume où je suis à dire ce que je veux, je ne suis pas libre puisque je n’ai pas le choix du dépassement. Je ne peux que sortir de moi-même que si j’ai intériorisé la loi, et que je vis à partir de la loi.
Nous voyons de plus en plus que le péché originel se reproduit : puisque Dieu a dit de ne pas toucher à l’arbre de la Vie et que moi je ne vois pas pourquoi, eh bien, je touche, je fais ce que je veux. Combien de temps faut-il pour que les gens comprennent que l’arbre de Vie est là pour leur bien. La loi n’est pas fait pour nous enfermer mais pour nous libérer. La liberté sans limites n’existe pas.
Puis pour revenir sur le feminisme. Il me semble qu’il est urgent qu’un mouvement naisse du masculinisme. Les hommes sont de plus en plus en mal dans un société moderne où la femme revendique ses droits, mais que l’homme a du mal à répondre. Comme le feminisme fait croire que les hommes ont une position dominante et qu’ils ont besoin de cela, les hommes ne voient plus ses problèmes à lui. L’homme moderne présent dans sa famillle comme dans son boulot, a du mal s’y retrouver.
De grâce, arrêtons ce discours d’égalité pour retrouver nos vrais valeurs. Dans un couple, il ne s’agit pas d’égalité mais de complémentarité. De respect, et évidemment sans aimer l’autre comme on aime soi-même, il n’y a pas de discours possible.
Les femmes se sont levées contre des injustices manifestes, mais on ne va pas me faire croire que les femmes ont vécu pendant un million d’années dans l’inégalité et que le féminisme est venu les “sauver” du malheur qui les attendaient. Le féminisme n’est qu’un discours parmi d’autres dans notre société et bien malin celui qui peut prétendre connaitre l’origine de son discours.