Comme en 2007 pour la théologie de la communication, personne n’a encore écrit sur le diaconat commun des fidèles en lien avec diaconat ministériel, et en parallèle avec le sacerdoce commun des fidèles qui est lié au sacerdoce ministèriel appelé aussi le presbytéral. Inutile de dire que personne n’a encore entendu parler du premier, mais que tout le monde connaît le deuxième, en tout cas les habitués de la théologie du Vatican II.
La source du ministère est le Christ, et le Christ a deux mystères important de sa vie sur terre : l’Incarnation et la Résurrection ou encore la fête de Noel et la fète de Pâques. C’est deux fêtes vont avec le Christ Serviteur (Incarnation) et le Christ Sacerdoce (Pâques).
C’est en méditant le mystère de la nativité qu’on peut comprendre le diaconat, et c’est le mystère de la Résurrection (qui commence le Jeudi Saint) qui éclaire le presbytéral.
Au lieu de faire glisser une distinction somme toute artificielle dans le sacerdoce qui recouvre aussi bien le presbytéral et le diaconat, il est plus historiquement juste de dire que le presbytéral venant des apôtres via les évêques (les prêtres sont des petits évêques) est différent du diaconat, et que le sacerdoce du Christ se retrouve dans l’éveque et dans un moindre dégrée dans le pretre.
Le diacre tire toute sa référence du Christ Serviteur, et pas du Christ grand prêtre. Malheureusement il y a eu trop de prêtre qui ont réfléchit au diaconat. Ce Christ Diacre est le fondement du diaconat, et tout prêtre a bien été ordonné diacre avant pour bien faire comprendre que la fondation du ministère n’est pas la célébration eucharistique mais le service. Quelle révolution dans l’Eglise si on comprend que l’eucharistie n’est pas la fondation de l’Eglise mais le service du plus petit. Ce sacrement du service, celui qui rend le Christ présent dans le tout petit. Ce que vous avez fait au tout petit, c’est à moi que vous l’avez fait.