Malheureusement je n’ai pas pu assister à la journée de samedi avec Jacques Hars.
Il a abordé différentes problèmes dans le cadre d’une discussion sur l’église.
Il a parlé d’une théologie de la communication.
Il a aussi parlé d’une théologie de métissage. Un nom est Elizondo. Jacques Audinet, sociologue et croyant, y a aussi pensé.
Le métissage est intéressant comme principe de mélanger tout en gardant ses identités (dont on a si peur aujourd’hui).
Ce Dieu qui s’incarne, change au contact de l’homme. C’est appel lancer à Abram et à chacun de nous : va vers toi, ou va vers l’Autre.
L’homme ne va pas simplement vers un nouveau projet, et puis de projet en projet. Le projet auquel l’homme participe, est un projet qui est déjà en lui, et il est à la fois poussé dans le Dieu par Jésus qui s’est incarné, qu’il va également à la rencontre de Dieu qui vient à sa rencontre. Pourtant il reste une distance entre l’homme et Dieu dans cet rencontre. Cette distance est créatrice. Ce n’est pas simplement une frontiere entre deux parties, mais c’est un rencontre dans une espace ouverte, un no-men’s land, qui est une espace de création de nouveauté. C’est de là que la nouveauté surgit.
Encore quelques noms cités par l’orateur :
Gilde van broekhoven :
Barabasi : linked
Castells :
Michael Ende : the never ending story