Voilà j’ai été admis à la deuxième année à mon grand bonheur.
En tant que diacre ou futur diacre, on voudra de la sécurité; ou plus encore les gens veulent toujours plus de pouvoir et de puissance (et surtout être indépendant des autres).
Je suis de plus en plus frappé combien même certains diacres sont tentés par le fait d’avoir plus de puissance pour faire au lieu d’intégrer cette parole de Paul : c’est lors que je suis faible, que je suis fort.
Ce n’est pas le faire qui importe ici, mais l’être. Si je deviens diacre, ce sera pour l’être, pour le fait d’appartenir à une communauté de personne qui ont voué leur vie à l’Église qu’ils soient d’accord avec elle ou pas. L’importance n’est pas la tête mais le cœur.
Et puis le diaconat restera toujours un ministère du seuil avec tout ce que cela comporte d’inconfort.